L'EFFET DE SERRE

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Créé le : 30/11/2007 14:26
Modifié : 08/02/2008 14:30

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[ L'effet de serre ] [ Ses causes ] [ Lexique ] [ Ses conséquences ] [ L'actualité ]

LEXIQUE

25/01/2008 14:22

LEXIQUE


*pergélisol : Désigne un sous sol gelé en permanance.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Perg%C3%A9lisol


*pluviométrie :C'est la mesure de la pluie


Commentaire de rodolphe (08/02/2008 15:01) :

je trouve le lexique interan car souvent on ne compren pa svt la signification de certain mots.





La France a aussi sa part de responsabilité

25/01/2008 14:04

La France a aussi sa part de responsabilité


La France doit réduire ses émissions de gaz à effet de serre (GES) de 14% d'ici 2020, a annoncé ce mercredi la Commission européenne.

Le même objectif a été fixé à l'Allemagne. Pour toute l'Union européenne, l'objectif est d'atteindre une réduction des émissions de gaz à effet de serre de 20% par rapport à 1990 et d'ici à 2020.

La part des énergies renouvelables dans la consommation doit être portée à 20% également sur la même période.

Dans un communiqué, l'association WWF "regrette le manque d'ambition de l'UE". L'ONG aurait souhaité que la Commission européenne vise l'objectif des 30% de réduction des GES d'ici à 2020.



SOURCE : santemagazine.fr




Le point de vue de " l'homme le plus puissant du monde "

11/01/2008 14:29

Le point de vue de


Bush assure prendre l'effet de serre "au sérieux", plaide pour le nucléaire

Le président américain George W. Bush a assuré jeudi qu'il prenait "au sérieux" le problème des gaz à effet de serre, y voyant une raison forte de développer l'énergie nucléaire.

"J'ai dit à l'ancien vice-président Al Gore que je prends ce problème au sérieux, et nous développons une stratégie pour nous en occuper", a déclaré M. Bush lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche.

Cette déclaration intervient alors que la Maison Blanche avait exprimé samedi "de fortes préoccupations" sur certains aspects de l'accord conclu à la conférence de Bali sur le climat.

M. Bush a répété jeudi la position américaine, soulignant la nécessité que "les grands pays émetteurs" de gaz à effet de serre, comme la Chine, participent aux efforts. "Vous savez, une des raisons principales pour laquelle j'étais contre Kyoto est que la Chine n'était pas autour de la table", a expliqué le président américain.

Il a ajouté qu'à la conférence de Bali, un compromis avait été atteint qui stipule "que nous nous sommes engagés sur un processus de deux ans et que parallèlement nous travaillons à nous assurer que tous les émetteurs majeurs de gaz à effet de serre viendront autour de la table des négociations avec un objectif atteignable par tous".

"Notre stratégie" pour réduire les émissions de gaz à effet de serre "est développer notre propre plan avec des objectifs nationaux, et des objectifs internationaux que nous espérons fixer cet été", a-t-il poursuivi.

Lors de la conférence de l'ONU à Bali le 15 décembre, une "feuille de route" sur le réchauffement climatique a été adoptée à l'arraché mais la référence explicite à des réductions des gaz à effet de serre pour les pays industrialisés a été effacée, sous la pression des Etats-Unis.

Le président américain a par ailleurs plaidé jeudi pour le développement du nucléaire sur le sol américain.

"Si on est vraiment sérieux avec les gaz à effet de serre, il faut être fortement en faveur de l'énergie nucléaire. Le nucléaire nous permet de produire de l'électricité sans émettre la moindre unité de gaz à effet de serre", a souligné M. Bush, se disant "ébahi que notre pays ne soutienne pas plus fortement le développement de l'énergie nucléaire".

Le nucléaire "est de loin la meilleure solution pour garder une croissance économique forte et en même temps préserver l'environnement", a-t-il souligné.

M. Bush a aussi appelé à développer de nouvelles technologies propres pour l'utilisation du charbon alors que les Etats-Unis ont des réserves de charbon pour 250 ans.

Source : afp.google.com



Commentaire de Laurine (25/01/2008 21:43) :

"Le plus puissant du monde"...





Les causes de l'effet de serre sur l'environnement et l'homme

11/01/2008 14:10

Les causes de l'effet de serre sur l'environnement et l'homme


 le climats.


Le climat se définit comme une description des moyennes et des extrêmes météorologiques en un endroit limité. Le climat est naturellement variable comme en témoigne l'irrégularité des saisons d'une année sur l'autre. Cette variabilité est normale, et tient aux fluctuations des courants océaniques, aux éruptions volcaniques, au rayonnement solaire et à d'autres composantes du système climatique encore partiellement incomprises. De plus, notre climat aussi a ses extrêmes (comme les inondations, sécheresses, grêle, tornades et ouragans), qui peuvent devenir dévastateurs... Les températures moyennes du globe (mesurées à 2 m au-dessus du sol sous abri) sont de : +15 °C en moyenne (régions polaires : -20°C, tempérées +11°C, équatoriales : +26°C.

 Historique.


Svante Arrhenius avait déjà annoncé il y a un siècle (1900), qu'en brûlant le charbon, les hommes allaient réchauffer la planète via un effet de serre renforcé. Plus récemment, le glaciologue grenoblois Claude Lorius a entrepris au début des années 80, une coopération avec ses collègues soviétiques de la station Vostok, installée au coeur de l'Antarctique. En 1985, les foreurs russes parviennent à extraire des carottes de glace jusqu'à un kilomètre de profondeur. Publiées en 1987, leur analyse réalisée à Grenoble et à Saclay par les équipes de Dominique Raynaud et Jean Jouzel, démontre que, depuis cent mille ans, il existe une corrélation étroite entre températures moyennes et teneurs en gaz à effet de serre. En 1999, la démonstration s'est étendue aux 400 000 dernières années. Sur cette période, jamais la teneur en gaz à effet de serre n'a atteint les valeurs actuelles, dues à la pollution.

Estimations 1995-2000 : de pire en pire.

Hausse des températures moyennes en 2100 par rapport à 1990

prévision 1995
+ 1°C à + 3,5°C

prévision 2000
+ 1,5°C à + 6°C

Elevation du niveau de la mer jusqu'en 2100 par rapport à 1990

prévision 1995
+ 0,15 à + 0,95 m

prévision 2000
+ 7 à + 13 m (chiffres souvent revus)

Niveau de la concentration de CO2 dans l'atmosphère jusqu'en 2100

prévision 1995
500 ppm* (partie par million)

prévision 2000
540 à 970 ppm

Hausse de la température du globe entre 1860 et 2000


 Des estimations alarmantes.


Toujours est il qu'au cours du prochain siècle, le réchauffement planétaire pourrait être pire que les premières estimations comme le mentionne le Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat (IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) ou GIEC), un groupe de centaines de chercheurs sous l'égide des Nations Unies. Ainsi, selon une version préliminaire de son rapport, la hausse de température pourrait atteindre 6 °C d'ici 2100 contre 3 °C prévus alors en 1995.
En effet, le GIEC a rendu en 1995 un rapport scientifique qui conclut notamment que :

- Depuis 1750, le taux de CO2 dans l'atmosphère a augmenté de 30%, celui de CH4 de 145%,

- Depuis la fin du 19ème siècle, la terre s'est réchauffée de 0,3° à 0,6° et on a assisté à une montée du niveau des océans de 10 à 25 cm,

- Toutes les analyses confirment l'effet notable des activités humaines sur ces variations, même s'il demeure de nombreuses incertitudes sur leurs évaluations, et surtout sur les conséquences qui peuvent s'ensuivre,

"La comparaison entre le changement observé dans la température moyenne globale et le résultat des simulations suggère que le réchauffement des cent dernières années n'est vraisemblablement pas dû aux seules causes naturelles et que les caractéristiques géographiques d'un réchauffement dû aux activités humaines sont identifiables dans les observations du climat".


 Comment expliquer le rapport entre hausse des températures et catastrophes climatiques ?


Il existerait une relation entre le réchauffement planétaire et les perturbations climatiques à venir si l'on s'intéresse à l'Oscillation Nord Atlantique (ONA) sorte de rapport de force entre l'anticyclone des Açores et la dépression d'Islande. L'ONA dicte pratiquement le climat de l'Afrique du Nord, du nord-est de l'Amérique et de l'Europe.

En effet, les masses d'air sont véhiculées par ces deux centres de pression : l'anticyclone des Açores est un centre de haute pression, tandis que la dépression d'Islande est un centre de basse pression.. Et, en fonction de la différence de pression qui existe entre elles, l'indice de l'ONA sera plus ou moins fort et donc les vents sur l'Europe plus ou moins puissants. En résumé, lorsque la différence de pression est très marquée entre l'anticyclone des Açores et la dépression d'Islande, de forts vents d'ouest balayent l'Atlantique, préservant nos latitudes des masses d'air polaires continentales. Au contraire, si l'indice de l'ONA est faible, le froid sibérien envahit l'Europe de l'ouest. Enfin, la hausse des températures accélère le cycle évaporation-précipitations.


 Le réchauffement climatique en France.


Les températures devraient grimper de 1 à 2°C notamment dans le sud-est,

- les volumes de précipitations devraient augmenter de 20 à 50 % (comparez les précipitations dans le Val de Marne de l'année 2000 avec les normales),

- les pluies seront plus intenses,

- la durée d'enneigement dimunuera nettement à 1500 m d'altitude.

A Paris, la température de l'air s'est élevée de 2°C depuis 100 ans ainsi que celle du sous-sol comme en témoignent les 13,3 °C des caves de l'Observatoire de Paris actuellement contre 11,8 °C jusqu' en 1880



Source : fig-st-die.education.fr 





Conséquences pour l'environnement

14/12/2007 15:16

Conséquences pour l'environnement


    L'effet de serre n'est pas en soi nocif aux écosystèmes ; sans lui, la température terrestre avoisinerait les -18 °C. Cependant un excès de GES dépassant la capacité des écosystèmes à les piéger et les absorber est un danger pour la plupart des espèces.

    Un réchauffement global provoquerait d'abord une augmentation mécanique du volume d'eau de mer par dilatation et par la fonte des calottes polaires, qui engloutirait les terres basses (les îles coralliennes comme les îles Maldives sont les premières menacées), mettant en péril de nombreuses espèces dont peut-être, par acidification des océans, le phytoplancton qui produit 80 % du dioxygène que nous respirons et qui absorbe l'essentiel du dioxyde de carbone) dissous dans l'eau de mer (le CO2 est 60 fois plus présent dans la mer que dans l'air (1,8 % au lieu de 0,03 %) pour un volume grossièrement estimé à 1 370 millions de km³.

    D'autres conséquences sont attendues, dont une augmentation de la pluviométrie*, et la modification des courants marins, ce qui modifierait aussi le niveau moyen des mers avec des conséquences potentiellement désastreuses.
Des conséquences plus ou moins difficiles à prévoir risquent de provoquer un véritable changement climatique.
     Un effet « boule de neige » auto entretenu pourrait être amorcé par la fonte du pergélisol* avec évaporation d'hydrates de méthane, s'ajoutant à celui qui pourrait aussi être libéré en mer, ainsi que par l'augmentation des incendies de forêts et d'inondations se traduisant par la méthanisation de matière organique immergée, qui sont autant de facteur de réchauffement.

    Les scientifiques prévoient une augmentation de 1,5 °C à 6 °C pour le siècle à venir en supposant que l'augmentation des rejets de gaz à effet de serre continue au rythme des 20 dernières années (on n'a pas observé de ralentissement global des émissions, même depuis Kyoto).

    Un arrêt total et immédiat des rejets de carbone n'empêcherait cependant pas la température moyenne de la planète de continuer à augmenter pendant plusieurs dizaines à centaines d'années, car certains gaz à effet de serre ne disparaissent de l'atmosphère que très lentement. 


SOURCE: wikipédia

Commentaire de le fan (08/02/2008 15:17) :

ton site ma paru éssentiel ceci ma boulversé sa ma fé changé de poin de vu komen avez vous atteint un tel paroxisme d'information merci bcp





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